Immortel
Au commencement
Prologue
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Helson, Grande-Bretagne
Décembre 1899
Vers minuit, tous furent rassemblés autour d’une table pour fêter Noël dans leur regard félin, à la fois déterminées et hésitant, même troublant. Seul une petite fille criait de joie le temps des fêtes. Ses yeux reflétaient l’amour et la compassion même si tous avaient le regard tournés vers le plafond et certains vers le sol.
Dans les mains d’une grande dame, il y avait une feuille, un crayon à la main elle signa le papier de sa signature banal et sans vie. Elle pleurait mais baissa la tête pour que personne ne le remarque et s’essuya de temps à autre sur sa veste de laine tout en reniflant. Depuis qu’ils étaient arrivés à Londres… Non, depuis la mort du père et de la petite fille arrivée quelque jour après sa mort. La dame devait sans cesse surveiller les enfants pour qu’il reste en vie eux aussi. On voyait très bien quel avait été touché par la dépression.
La mère les surveillait tous les jours et chaque jour la petite fille lui faisait penser à son père, c’est pourquoi c’était de plus en plus difficile de la regarder dans les yeux, mais surtout de la prendre dans ses bras. C’est pourquoi elle l’envoyait dans un orphelinat ou peut-être dans un pensionnat.
Elle se pencha de nouveau sur sa feuille d’inscription en levant les yeux de temps à autre pour observer ses deux filles. Après quelque seconde à admirer la plus jeune des deux, elle pensa même à la garder. Hélas, à force que la petite grandirait, elle ressemblerait beaucoup plus à son père que maintenant. Cette inscription était le seul moyen de lui faire oublier la peine qu’elle avait et la dépression que le temps lui donnait.
Elle se redressa et senti un souffle sur sa nuque.
Lui
Elle le contempla avec admiration et tristesse. Il lui pris le menton et lui leva la tête pour l’embrasser avec passion. La dame pleurait et l’embrassa à son tour, les deux filles regardaient avec admiration leur père les yeux brillant d’amour. Il regarda ses deux enfants et leur fit le plus gros des câlins en leur embrassant sur le front une à une. Il retourna au près de
La mère et vit l’inscription qu’elle tenait toujours avec ardeur et tristesse. Le père arracha l’inscription de ses mains et l’observa avec ardeur.
-Pourquoi ? Murmura-t-il tout en regardant la plus jeune de ses filles.
La mère baissa la tête essuyant ses larmes avec ses manches. Comment pourrait-il comprendre ce qui se passe dans sa vie puisque cela fessait si longtemps qu’il était mort et disparu ?
-Tu ne comprendrais pas.
L’homme la regarda, il avait été si absent pour eux. Il repensa à tous les chemins qu’il avait parcouru pour trouver la porte qui menait au paradis et à sa vie éternelle qu’il avait donner pour pouvoir les voir une fois dans sa vie.
-J’ais…J’ai tout sacrifier pour venir vous voir, mon éternel vie et mes pouvoirs. J’arrive et on me remercie en envoyant mes filles dans un pensionna. L’homme baissa la tête honteux de les avoir quitter.
-Une de tes filles, puisque l’autre mourra dans 3 jours, murmura-t-elle, prépare son arriver avec passion et la mienne aussi.
L’homme laissa échapper quelques gouttes de ses yeux tout en baissant les yeux.
-je ne pourrais pas…dit-il tout en baissant la tête vers sa femme.
La dame leva ses yeux pleins d’eau vers lui.
-Et pourquoi tu ne pourrais pas nous accueillir.
L’homme fit un pas vers l’arrière.
-Je suis désolé vraiment…murmura-t-il en s’élevant dans les airs.
-Pourquoi tu dis cela(elle se tut et baissa les yeux ? ?Tu pars et tu nous abandonne pour une deuxième fois.
L’homme sécha sa larme avec son poignet et s’éloigna. Comment pouvait-elle comprendre ce qui lui arrivait aujourd’hui ? Il regretta d’être venu les voir.
-J’ai été obliger de donné mon immortalité pour vous voir, j’ai dû pactiser avec…. Je suis désolé, vraiment. Dit-il tout en augmente le ton de sa voit.
La femme s’éloigna accompagné d’une de ses filles, l’autre était rester près du père, figée comme un bloc de glace et encore même pétrifiée. La plus jeune des deux avança tranquillement en direction de sa sœur, prête à tout pour la sauver. Sa sœur était toujours figée comme hypnotisée par la voltige de son père.
L’homme sorti un fusil de sa poche arrière, près à tout pour obéir avec qui il avait pactisé, pouvoir retrouver son immortalité le soir même ou il l’avait vendue lui fessait chaud au cœur. La plus grande des sœurs laissa coulée quelques larmes de ses yeux, ils ne reflétaient plus l’amour qu’elle avait pour lui…Non, ont voyaient du feux, de la glace et de la foudre jaillirent de ses pupilles, la haine et la mort y reflétaient aussi.
-Ne t’inquiète pas ma grande, cela ne fera pas mal. Au contraire tu ne sentiras rien, murmura l’homme.
L’homme eut un petit rire moqueur ainsi qu’un petit sourire démoniaque, près à tout. Il installa des balles dans son engins et le pointa en direction de la plus vieille de ses filles.
-Pourquoi j’aurais peur d’un traître, prête à tout sans aucun brin de peur.
Sa petite sœur vient se placer devant la grande, elle reflétait tout, sauf la peur avec ses yeux rouge sang. Pendant que la petite s’installait devant sa sœur, elle, elle essayait de l’écarter en
passent qu’elle ne savait pas dans quoi elle s’embarquait.
-Si tu veux tuer ma sœur, tu devras me passer sur le corps avant même de la toucher, dit la plus jeune des deux d’une vois grave et déterminé.
L’homme remit son petit rire tout en observant sa fille, troubler, il ne s’attendait pas à ce qu’elle protège sa sœur surtout pas à l’âge qu’elle avait.
-Courageuse ma petite, mais ci tu le veux, ce sera déjà fait.
Il changea la direction de son fusil vers sa fille. La plus grande était figée à voir le courage de sa sœur. Pendant, que la mère, elle, elle pleure sans cesse collée contre le mur de la cuisine. Elle parlait seul tout en disant : « Pourquoi, pourquoi moi ? ? » Le père regarda la dame et la pitié pris son regard. Il rangea le fusil dans sa poche et s’approcha d’elle.
-Va-t’en, va-t’en, cria la dame en pleurnichant.
L’homme eut encore plus pitié d’elle. Il la regarda avec un regard amoureux, comme ci elle était la seule personne à la remettre à sa place.
-Tu ne disais pas que tu voulais venir avec moi au paradis. Dit-il tout en essayant d’avoir l’air d’un chien battu.
La dame leva ses yeux vers lui, elle fit un petit sourire du coin de la bouche.
-J’aurais… Mais plus maintenant(Elle se tourna vers ses filles, qui elles les regardaient toujours avec méfiances)J’ai découvert que la mort n’est pas une option, mais du suicide pur, la vie elle, par exemple, c’est un désir et non une punition.
Il la contempla en essayant de l’attirer vers lui, mais elle se débattait. La dame avait vécu pour ses filles et ce ne sera pas aujourd’hui qu’elle les abandonnerait comme l’a fais leur père.
-La vie est une obligation et non un désir. La mort est le paradis, c’est le plus beau des endroits. Sur terre on ne peut que rêver tandis que qu’au paradis on peut réaliser nos rêves. (Il leva sa tête très haute)Le paradis est merveilleux. Criant-il en se tournant vers ses filles tout en regardant sa femme ensuite.
La femme souffla quelques mots et se dirigea vers lui.
-Quand l’on cherche la mort on ne fait que brûler son âme, alors ne vient pas me dire que tu es au paradis, monstre, plus rien ne me fait peur, (Elle détourna son regard pour le posé sur celui de ses filles) j’affronterais tous les épreuves de la vie, ceux que je passerais avec mes filles.
Elle était déterminer à l’effacer de sa vie, lui, il était une étape de sa vie qu’elle devait passer. Elle posa un regard féroce en sa direction, maintenant elle n’avait plus peur. Les deux filles prit la direction de leur mère, elle s’approcha d’elle tout en envoyant le même regard vers leur père.
-Alors vous ne me donné pas le choix, dit le père tout en riant.
Les deux filles se regarda d’un air inquiet, tandis que la mère s’avança pour se mettre devant e comme signe de protection. L’homme recula en voyant le geste que la mère avait fait, il murmura quelques mots qu’aux oreilles des autres sonnaient : « Pourquoi elle sont aussi stupide ? Il me semblait qu’elles avaient peur de tout, sauf peut-être ma grande fille. »
-Tu devrais savoir que le temps passe et que tous change à force de grandir, murmura la plus vieille des filles.
-Chère tu devrais avoir honte de parler comme cela à ton père.
Elle le dévisagea et se mit sur la pointe des pieds pour le voir de plus près, ses yeux lançaient presque du feu.
-Mon ancien père qui aujourd’hui est devenu un traître et un sans cœur, cria la fille pour se débarrasser de la haine qui planait en elle.
L’homme insulté sorti à l’extérieur, pris une torche et la mit en feu. Il la tira sur la maison, qui elle commençait tranquillement à brûler. Les deux filles et leur mère encore à l’intérieur vit le feu ravagé la maison, seconde par seconde s’écroulait pour que les deux filles réussissent à sortir sans aucune égratignure. Tandis que la mère qui était tombé par terre brûlait vive, les deux jeunes filles cherchaient des explications à ce qui venait de ce produire. Le père, lui, les regardait tout en souriant.
La plus grande des deux filles se décida à rentrer et de sortir sa mère, pendant que l’autre était face au père. Elle pleurait, pendant que sa mère et sa sœur criaient, la petite ne savait pas quoi faire, troublé devait-elle faire face au père ou devait-elle rentrer et sauver ce qui restait de sa famille.
-Alors vaut-il la peine de les sauver et de mourir( il leva la tête tout en gardant son sourire moqueur) ou tu veux me joindre et aller au paradis.
L’homme la regardait droit dans les yeux attendant une réponse claire, la fille elle posé quelques secondes son regard sur son père et le reste du temps sur la maison qui illuminait tout le quartier de sa lumière.
-Et puis, dit le père impatient.
La fille paraissait triste, mais au fond de ses yeux, le feu régnait toujours. Une petite voit dans sa tête lui disait de rester et l’autre l’obligeait à rentrer et à sauver sa sœur et sa mère. Le père paraissait beaucoup plus impatient, il sorti le fusil qu’il tenait un peu plutôt et le pointa en direction de sa fille.
-Mourir vaillante, répliqua-t-elle folle de rage.
L’homme n’eu pas le temps de prononcer un mot que la fille courut en direction de l’immeuble en feu. Elle entra tranquillement, il faisait chaud, elle continuait sont chemin en essayant d’entendre les voies pour se diriger. La jeune fille marchait en essayant d’éviter les poutres qui tombaient, elle ne perdait pas les bruits de secours que lançaient sa mère et sa sœur.
Elle ne percevait pas devant elle, sa famille se trouvait encore à 100 centimètres d’elle dans la cuisine. En voyant son visage découragé, on pouvait croire qu’elle allait abandonner, mais rien ne pouvait l’empêcher à se faufilé parmi les poutres tombées sur le sol. La mère ne criait plus tandis qu’on entendait sa sœur crier : « au secours, un médecin vite, au secours. Aidez-moi, aidez-moi. » Elle ne perdait pas son temps puisque qu’à toutes les fois ou elle criait, on percevait que son ton n’augmentait pas…. Non, il diminuait à force d’avancez la fille commençait à la percevoir de loin, mais au moins elle savait que sa sœur était encore en vie. Sauf que sa mère penchée sur les genoux de la fille ne semblait pas bouger.
-J’arrive, cria la jeune fille presque sur le point d’arriver.
Quand la grande fille vue sa petite sœur arriver, ses yeux se mit en mode panique, jamais elle n’aurait voulu que sa sœur arrive j’usqu’à elle.
-Va-t-en, quitte la maison immédiatement.
La jeune fille continuait sont chemins à travers les flammes, tout ce qu’elle voulait était sauvé sa famille. Sa grande sœur continuait de lui crier de partir, mais la petite têtu comme une mule ne prenais même pas la pêne de l’écouter.
La fille arriva auprès de sa sœur, elle lui pris le bras et puis tira sa mère de l’autre, elle pointait la sortie pour que sa sœur puisse se diriger parmi les flammes.
-Va part là, cria la plus jeune des deux, fait attention au poutre.
Sa sœur continua le chemin quelle entreprenait, la petite elle, continuait de tiré sur sa mère en criant : « maman, maman réveille toi. » Elle réussie alors à installer sa mère sur ses épaules mais pas à la porter. La jeune fille parcourue 20 centimètres, mais sa force diminuait à vue d’œil, elle se donna un effort, mais en vain. Toujours la mère sur les épaules, elle entendit un bruit qui ressemblais à ce que fais un fusil quand on clique sur la détente. La jeune fille laissa coulé quelques gouttes après le coup de fusil qu’elle venait d’entendre, puis trop essoufflé pour faire un pas de plus elle s’effondra sur le sol.
Ven 29 Avr - 20:38
